Il y a quelques mois, nous apprenions que parfois la viande de cheval remplaçait secrètement
celle du boeuf dans nos plats cuisinés...
Nous apprenons aujourd'hui avec un certain dégoût que croyant nous délecter de calamars,
nous ingurgitions parfois de l'anus de cochon.
J'aurais une petite pensée pour nos frères et soeurs musulmans
qui doivent encaisser l'info encore plus horrifiés que la plupart d'entre nous.
Ainsi, la course aux bénéfices se révèle avide de supercherie.
Vous vous demandez peut-être à la lecture du titre de ce billet
ce que viennent faire les clowns parmis ces animaux....
"Ils sont tous bêtes" , penserez-vous probablement.
Cet article se rapporterait plutôt aux registres de l'éthique et de la déontologie.
Je pense à ces clowns auto-proclamés modernes, nouvelle vague ou autre (la liste est longue).
Adieu longues chaussures, costumes difformes, nez caoutchouc et maquillage...
Bonjour baskets repeintes et fripes de récupération.
Il reste parfois le coté comique mais cela suffit-il à faire un clown?
A quoi pense-t-on quand on parle de clowns?
Je vous laisse répondre vous même à cette question...
Je pense également à ces autres artistes de spectacle qui se présentent tels des clowns traditionnels.
Ce jongleur perruqué, maquillé et chaussé largement qui enchaine ses passes virtuoses
captive son public... Mais, est-ce un clown pour autant?
La finalité du clown ne serait-elle plus de faire rire?
Est-ce que l'habit fait le moine?
Je vais maintenant laisser tout ça à votre libre arbitre.
Que celles et ceux qui craignent que leurs lasagnes équines ne refroidissent
se mettent à table et ainsi soit-il pour celles et ceux qui ne rechignent pas
lorsque la partie la plus fine du cochon se travestit en calamars.
Je leur souhaite un très bon appétit.
Pour les autres, vous pouvez lire ceci.